Les
belladones matamoresques ne sont pas des morues ni des marraines. Elles sont un
algèbre de convoitises, toutes cabossées, toutes culottées. Elles ne sont pas
du bas de ma rue, mais battent le pavé quand même, lorsqu’il le faut, lorsqu’on
les affecte (elles ne sont pas ordonnables, et encore moins ordonnées). Ardues,
hardies, ardentes, les belladones matamoresques ont une scène où lézarder, ont
un zèle pour lacérer, de pénombres et panurges, d’herbes grasses en lits
douillets. D’ailleurs elles sont grosses, elles sont minces, elles s’immiscent,
elles- grincent, s'amènent puis s'amassent. Elles sont les arpèges haletants
d’une romance grivoise. Elles gravissent, sévissent, séquestrent et
s’éclipsent. Elles esquivent, elles espèrent. Elles sont exquises, elles exagèrent, elles exaspèrent ! Elles sont spatiales, elles sont spectrales, elles sont spéciales,
elles sont spirales. Elles sont spectacle, et elles spéculent. Elles spolient
poliment, elles salopent goulûment. Decepimur specie recti. Les
belladones matamoresques ont une fresque à entretenir, et quelques frasques, et
quelques frises. Elles sont la fraise et le phrasé, elles sont le polar de la
parole. Elles n’ont de pareil. Les belladones matamoresques sont grimpantes,
grapilleuses, ripaillantes et périlleuses. Elles sont chatouilleuses et
attrayantes, chatoyantes et onctueuses. Elles sont la pulpe et le pépin. Elles
sont la verve et le vagin. Mi-andalouses,
mi onduleuses, elles chevauchent, s’amoncèlent, chavirent, s’émancipent.
Elles sont un sucre, elles sont la cime, elles sont le vent, elles sont la
vigne. Et elles s’agrippent et elles s’agrippent, elles ont des grappes
qui ne s’arrêtent... pas ! Elles accostent, castagnent, encastrent et
questionnent. Les belladones matamoresques sont
de Castille et de Médine et de Modène, elles sont mondaines elles sont madones.
Elles dominent, médisent,
prédisent et promènent. Elles se donnent, elles s’adonnent, elles s’attèlent,
elles attachent, elles martèlent, elles s’entêtent, elles s’attardent, elles
entachent. Prédatrices.
Rédemptrices. Ils s'abandonnent. Elles abandonnent. Débandade méticuleuse. Elles sont vivantes, vivaces,
vicieuse, vénitiennes et pernicieuses. Elles sont vaines et nobles, vénéneuses
et artérielles. Pénélopes homériennes, peines et limbes homériques. Elles
adoucissent, elles endoctrinent. Les belladones matamoresques sont farouches et
sont fardeaux elles sont manouches elles sont badauds. Elles interdisent. Elles
sont actrices. Elles sont assises sur l'interstice, entre la pustule et le
pistil, entre le mâle et la mamelle. Tantôt masculin, tantôt féminine, un
tantinet faquin, un tantinet mesquine, elles s’égratignent parfois, parfois, pour mieux
parfaire, pour mieux pourfendre. Les belladones matamoresques ont toutes
saisons et toutes coutumes sous leur emprise. Elles sont à prendre, toujours !
Ne sont éprises, jamais ! Elles sont méprisantes, et méprisables. Elles sont du
lierre elles sont du lys elles sont délice elles sont sans lois. Elles ont des
cils qui sont des laisses qui se prélassent sur la proie qui la délaissent et
qui la broient. On les aime à
mort. Elles les aiment à point. Un point c’est tout, une mort c’est peu. Pointilleuses
et pétillantes, tonitruantes et silencieuses, elles sont les truands, elles
sont la tueuse. Les belladones matamoresques sont
saoudiennes ou soudanaises, elles courtisent, elles soudoient et soutirent le
courtois. Elles sont un cartel, un carnage. Elles sont si certaines, les Carthaginoises,
comme une corrida, comme une parodie. Sadiques séduc-trices. Elles tracent les
goûts et les couleurs. Elles sont couleuvres elles sont coulantes. Elles sont
une œuvre, elles sont une gente. Elles ont aux lèvres une colère, lente et
délicieuse ; sombres et rocailleuses. Elles sont la racaille de l’hymen,
elles sont le corail, elles sont le menhir. Elles ne s’amenuisent point, elles
croissent, elles croissent, elles croissent, toujours. Elles sont tangibles
elles sont tangentes. Elles sont tentantes elles sont tantriques. Elles vont
têtues et à tâtons, elles sont tétons, elles sont traitresses. Les belladones
matamoresques caracolent et caravanent, elles racolent et elles régalent. Elles
sont en cavale, en carrosse, en cabale et cabriole. Elles se cabrent, elles se
cambrent, elles sont l’arbre elles sont l’ambre – ovulaire ; opulentes. Elles
sont la parfaite épouse puis la perfide Cabourg, elles gainsbourgeonnent, et
elles aspergent. Elles assujettissent, et elles entassent, et elles en jettent.
Et elles en jasent. Elles tissent leur récolte et empêchent la révolte. Puis
elles aspirent à de nouveaux méfaits, qui seront magots, qui seront mégots.
Elles sont mégalomanes et mythomanes. Ils sont michetons et mijotés. Elles sont
Célimène et Salomé et Soliman. Elles sont folles et folâtres et saumâtres. Elles
bafouent, batifolent et elles rigolent. Affriolantes, aphrodisiaques, africaines
et paradisiaques. Elles sont une hérésie frénésiaque, une frénésie héroïque,
véhémente. Elles sont d’une langueur océane, d’une largesse assommante. Les belladones matamoresques sont
gentilles, hâtives, hantises. Elles sont l’entaille charnue de ces batailles
charniers. Elles sont le rouge carmin. Elles sont le noir Carmen. Elles sont charnières
charnelles carnassières et acharnées, elles sont
à Charcot, à Mucha. Elles sont amochées et elles sont méchantes. Elles sont des
machines elles sont des machines (elles sont des machines). Femme poisson,
femmes oiseaux, femme potion, femmes poisons ! Elles sont à Ovide, à
Horace, horribles et sauvages, elles sont avides comme évidentes. Elles sont
dentelles elles sont dantesques, canines, incisives et molaires. Elles sont
l’art d’aimer, elles ont l’air démentes. Elles sont à Mantoue, elles sont des
forteresses peu civilisées, celle de la fortune et celle- du funeste.
Glaneuses, flâneuses, flanelles. Les belladones matamoresques sont une
querelle, une galère, et elles n’ont que faire, et elles n’ont que l’air.
Galantes. Galeuses. Elles sont gênantes, elles sont neigeuses. Elles sont
glaciales, brûlantes, gracieuses, gluantes. Elles sont rassises, mais elles
sont neuves. Elles sont des nymphes, elles sont la nef. Elles sont la racine,
le tronc, la branche. Elles sont la trame de toutes histoires. Elles sont les
tzarines les plus austères. Elles sont la brame des dieux infernaux en rut, en
lutte. Elles sont brutales ayant brouté à ces pâtures accaparées. Elles sont la
parure, l’apparence et le burlesque. Elles sont le barbare, elles sont le
murmure. Les belladones matamoresques sont argentines, argentées et
gantées pour rejeter. Pour rejaillir elles sont rigoureuses, vigoureuses,
revigorantes et bigarrées. Elles sont bagarreuses et ravageuses. Elles sont
Ravachol quand ils sont avachis comme avalé puis recrachié. Elles ne
raccrochent jamais ; elles- répondent toujours. Elles sont furibondes et
frappadingues, vagabondes et abondantes, répandues et butineuses. De butins en
pâtures, elles sont nomades, monades, monar-chiques. Elles- chiquent ce
qu’elles trouvent à loger sous la dent, comme une trombe qui soulage qui
s’allonge qui s’allonge qui s’allonge qui s’allège. Elles sont allégeance. Elles sont chasseresses, pécheresses, elles sont
sécheresse, elles sont à sec, et torrentielles. Tarentules étatiques. Elles
sont toxiques, nocives, évasives, invasives et vaseuses. Elles sont taurines et
requins, elles sont torrides et marocaines. Et elles sont froides. Elles sont
des sirènes de marécage, des chimères, des spécimens. Elles ne sont pas
si mal. Les belladones matamoresques sont des
titans attentifs, des tyrans attirants, elles étirent, elles
essoufflent, elles effilent, elles étouffent, elles atteignent, elles
attaquent, harcellent, hameçonnent, harponnent, étreignent, éreintent, étriquent,
esquintent ; éteignent, et trinquent. Elles sont la comptine qui tonne.
Les jardins de Babylone et ses quintessences indécentes, indécises et indociles.
Elles sont d’obédience indomptable. Les belladones matamoresques sont païennes,
paillardes, paillettes et gaillardes. Elles sont
persiennes persanes, parisiennes et maritales. Elles sont Cléopatriarcales. Inconstantes,
incontinentes, impertinentes et partisanes, elles sont impartiales, insoumises,
insatiables car impunies. Elles ont été aperçues, là-bas. Et elles sont
l'abyme, là-haut. Les belladones matamoresques savent museler et s’en amusent.
L’homme est un hymne à mettre en vase, à faire suinter, à faire chuter. Et
elles scintillent, elles sont satin. Elles sont taquines, ne sont catins –
jamais ! Elles sont contentes, elles ont le quota, le bétail et la beauté.
Elles sont là un rêve agréable, ici une sève enlisante. Elles sont la vallée de
Salinas : on en salive, on s’y salit, et elles s’en lavent, et elles s’en vont.
Et elles s'en foutent. Elles sont lascives et peu loyales, elles sont royales,
elles sont voyelles. Les belladones matamoresques sont les moraines des
cagnards, les moraines des chaudes saisons. Elles ont des mirettes à en cogner.
Elles ont des maris à engrosser. Elles sont les derniers rayons sur l’échafaud,
parmi la foule bestiale et en chaleur. Là elles sont le froid, le sobre,
l’indifférence – ultime plaisir du condamné. Elles n’épient rien... elles
expirent tout ! Elles sont la fougue, elles ont la faux. Elles ont la
foudre, elles sont la fraude. Elles sont un masque. Elles sont marquises. Marâtres
puis matrices. Elles sont un gouffre magnifique. Les belladones matamoresques
sont les fleurs de Séraphine. Elles sont le vitrail... et la vitrine. Elles
sont gitanes, elles sont latines. Hypnotiques, apnéiques, hypothétiques et
pathogènes. Elles sont pathos, elles
sont pétasses, elles sont papesses et peu sages, elles sont sans gêne et de
passage – le temps de lorgner, le temps de croquer. Elles sont craquantes,
elles sont marquantes. Furi-euses et cori-aces, elles sont fugueuses fugaces
futiles, fussent-elles utiles avec audace. Elles sont radi-euses. Elles sont
odi-euses. Les belladones matamoresques sont une menthe religieuse et
régalienne. Elles sont antillaises ou bohémiennes, elles sont de Sienne, elles
sont de Vienne, de Padoue, de Pavie. Elles sont sournoises, elles sont
noirceurs. Elles sont sur lui comme sur elle comme elles susurrent à leurs
oreilles. Et elles s’assurent qu’ils ne s’insurgent – pas ! Les belladones matamoresques ont du
gestuel et du digestif, du gesticule et du callipyge. Elles sont l'oracle,
elles sont l'orage. Elles sont brigannes et imbridables, elles sont un
crachin d’or, elles sont un crescendo, elles sont un crochet doux, d’où l’on ne
peut fuir. Elles sont un ballet rauque et rêche, elles sont nouvelles. Elles
sont le boléro de Ravel, elles sont rêvées chéries
charrieuses charmantes charo-gnardes. Et elles sont belles, et elles sont
belles. Les belladones matamoresques sont les murènes des passions, les miroirs
des précieuses, les Merveilles dépressives. Elles sont une drague, elles sont
une drogue. Elles sont une vogue elles sont une vague. Elles montent, elles
mentent, elles mitent, elles matent, elles mutent et mettent – en cage. Elles
sont maj-estueusement injustifiables. Elles sont dans la plus haute salle de la
plus haute tour. Les belladones matamoresques ont un empire
d’âmes, d’hommes, d’hum-anités. Elles sont venins de vanité! Elles sont
peu plates, elles sont peuplade, elles sont la plante et l’araignée.
Plantureuses et agrippantes, elles sont hargneuses, impétueuses, elles sont une
harde impérissable. Elles sont une horde, elles sont impies. Elles sont Harpies
et elles arpentent, alpaguent, haranguent, enragent. Elles s’arrangent, elles
s’abrogent. Elles sont l’ombrage, elles ont l’ombrelle. Puis elles abrègent,
puis elles embrochent ... avec ! Et elles sont belles, et elles sont
belles : impérieuses, impériales. Le râle sous la roche, le râle qui
enrôle et celui qui arrache, se frotte, se racle et s'effrite. Les belladones
matamoresques ont des liasses de liesses pour donner, et des hyènes et des
lianes pour reprendre. Elles sont féroces caprices, cantatrices fiévreuses,
elles sont la pègre de l’Eros, elles sont belles et belliqueuses. Elles sont
saillantes, vilaines, sévillanes, vaillantes. Elles sont houleuses, elles sont
roulantes. Elles sont saignantes. Les belladones matamoresques ne sont pas des
morues ni des marraines, elles sont un algèbre de convoitises, un carrousel à
caresser qui tourne et terrasse, rase et déroule. Elles sont sangsues
sensu-elles.
Edouard M.
J'aime ces façons avec lesquelles tu utilises la répétition ("Et elles s’agrippent et elles s’agrippent", "Elles sont sangsues sensu-elles", etc.) pour parvenir à chaque fois à venir PAF dérouter le lecteur qui croit pouvoir "s'attendre" à quelque chose avant que PIF un petit rien du tout, un petit détail qui semble si anodin, vienne POF TOUT bouleverser ! Tu as le sens de la précision mêlé au sens de l'ironie, c'est tout simplement formidable.
RépondreSupprimerMes deux sessions préférées :
"Elles sont la pulpe et le pépin. Elles sont la verve et le vagin. Elles chevauchent, s’amoncèlent, chavirent, s’émancipent. Elles sont un sucre, elles sont la cime, elles sont le vent, elles sont la vigne."
(...)
"Elles sont du lierre elles sont le lys elles sont délice elles sont sans lois. Elles ont des cils qui sont des laisses qui se prélassent sur la proie, qui la délaissent et qui la broient. Elles sont sadiques séduc-trices."
Quel texte.
QUEL TEXTE
Peut-être (désolé je continue sur un autre bout de papier à mesure que me viennent les impressions) que ta façon d'écrire gagne une certaine liaison (je ne trouve pas le mot) une certaine douceur, un rythme plus marqué et moins assouvi, à être utilisée dans de plus grandes compositions, comme ici (comment appelles-tu la forme que tu as employée ? un poème en prose ? une "narration poétique" ?).
RépondreSupprimerBref, en tous cas, à a fois douceur et renforcement du trait, de la pointe, ce que tout le monde appelle "le style" qui est le tien, sans cesse oscillant entre ces coups d'accélération chaotique et la lenteur coulante du désir et de la raison.
Je ne connaissais pas cette formule d'Horace, qui nous a toujours délivré ces sentences si exquises : "Decepimur specIEM recti".
RépondreSupprimerMais Google me dit "Decepimur specIE recti"... Et si un professeur de latin venait à passer par chez nous ?
TU N'AIMERAIS PAS LE DECEVOIR, HEIN, EDOUARD ! :P
(dernière question : pourquoi Gaston L. s'est effacé ici derrière Edouard M. : comme Pessoa, des hétéronymes ?) :)
Fichtre! En effet Horace aurait trouvé cela atroce... Merci! J'avais en premier lieu envisager de reprendre seulement le "specie recti" à mon compte (notamment en terme de rythme), derrière un "elles sont". D'où l'accusatif que j'avais d'abord mis. Puis je me suis dis que Horace aurait trouvé ça atroce. Ne jamais couper une oeuvre! C'est comme prendre du Crébillon et l'arrêter avant la chute. Chatterie et chienlit! Et j'ai oublié d'enlever l'accusatif. Donc mille excuses, la loi de l'informatique me le pardonnent! Et mille merci!
RépondreSupprimerEn effet, je constate avec gaieté une évolution, enfin plutôt un raffermissement de mon écriture. A cela une raison : je la théorise beaucoup plus qu'avant, je la justifie, je la fonde. Elle est devenue du concept (concept de l'invisible, certes, m'en fou c'est mon bonheur, mon plus grand plaisir). Et cela depuis quelques mois j'y travaille énormément. Je ne cesse de penser et repenser l'écriture. Avec labeur et passion, j'ai poussé l'entreprise de conceptualisation toujours plus loin (mais pas encore assez!), lâchant les lois collantes et dogmes de l'écriture. Mais à côté de ça, je m'en inspire de nouveaux. Bref, beaucoup de fondements. Avant c'était la justification, maintenant c'est le fondement.
Cela, c'est le "polar de la parole". C'est à dire ce que la parole dit, et ne dit pas, toutes ses intrigues, ses conséquences, ses fondements aussi, ses circonstances et ses influences, ses préceptes, ses concepts (physiques ou pas, audibles ou peu).
(envisagé*) De ce travail que je m'efforce de faire, travail purement théorique et non pratique (la plume ne chauffe pas), il est découle deux visages à mon écriture, deux visages totalement contraires.
RépondreSupprimerPremièrement des textes comme celui-ci, qui ne sont pas courts, car il sont en fait infinissables (je viens d'ailleurs de rajouter "spectacle"). Ce sont des puzzles, qui ne font que prendre, hiérarchiser, entremêler et fisseler des termes sous un thème commun. Ca cest la partie neutre de l'écriture, bien sur que ces entrelacs sont fondés, et même puissamment ! Ils sont pensés et repensés, en permanence, remis en cause, remis sur place, puis reboutés, déboutés, puis replacés, puis remis en doute (c'est un lutte perpétuelle). C'est une écriture infinie, la justification est sans cesse repoussée. C'est magique!
A coté de cela une autre écriture sort du lot, celle très restreinte du phrasé, où tout se suffit à lui même, et se justifie à lui même. L'inverse de la précédente donc. Ca donne "L'aumône ôta ce que l'automne amène". Ou encore "L'aurifère horizon du forain au zéphyr osait faire fi de ce vent fier".
Deux écritures contraires donc, mais pas antagonistes pour autant. L'une peut bien s'emboîter dans l'autre (comme avec "Sombres et rocailleux sont les yeux de Carole" comme tu le verras quand il sera proposable (et non pas fini!) )
Ce polar de la parole, ses aspects, suspects, ses trames, ses questions sans réponses, ses problèmes élucidés. Ce qu'elle voile, et découvre.
J'aime beaucoup la manière dont tu analyses et décris tes écritures, c'est très intéressant à lire. C'est toujours très instructif de lire la manière dont un auteur parle de son écriture et de son style.
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup tes textes : leur rythme, leur agencement et la manière dont tu utilises les mots, c'est qui fait la force et la beauté de tes textes.