De la peau fine
De ces filles
Qui se peaufine
Puis s'effile
Un arlequin
Mord
Et sur le pli nuptial
De ton jupon bleuet
Une arachnide gueulait
Au couvert impartial
Funambule titubant
Sur le brin de tes voûtes
L'arlequin à turban
Gis à l'ombre d'un doute
D'un doigté indécis
Elle t'apprécie
Toi âpre préci-
euse au sable empoté
Sinueuse piété
Sous les nues et
Si les nues meurent
D'une lueur ocre
Encore âcre
Et son corps sait
Combien ton corsage
Si bien corsé
Mais encore sage
Corse l'écorce
De vos corps nacre
Encordés et
Encore dénués
De tes lippes
Elle titube
Telle tulipe
Sous tout temps
Sans tutelle
Telle elle t'est telle
Et t'atèle
Sur ces cils nucléaires
Errez vous sur
Le galbe céleste
Si las mais
Si leste en cadence
Dense
Densément
Elle danse et ment
Doucement
Douce semence
D'ailes denses
Danse-t-elle
Telle dans cet
Univers sale
Sept danses
Universelles
Brrr... N'en frissonnons-nous pas tous de toutes ces fruitières et frétillantes frétillances ?
RépondreSupprimerPS : Et par là même, j'inaugure le premier commentaire de ce blog, promu, comme Les Echappées, à un avenir littéraire considérable! Faites péter la poésie et en avant toute ! ^^
Et si cela
RépondreSupprimervoulait être
une chanson?
YODA
Je n'aie pas entièrement saisi ce poème, mais je impressionée de voir quelqu'un capable d'écrir un tel poème. Et j'aimerai beaucoup que tu me l'explique avec précision :)
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