dimanche 27 novembre 2011

depuis le temps que vous me le demandiez voici un cour extrès d'une de mes chorégraphie.

samedi 3 septembre 2011

vendredi 5 août 2011

Chorégraphie de caravane (Raphaël)

Jambes attitude avant et arrière, développe bras droit par le coude puis bras gauche (a la seconde), relève tête, replie bras droit par le coude puis bras gauche par le coude, développe droit par le coude puis gauche par le coude (bras en V) poignet relâcher. Bras droit arc de cercle au dessus de la tête bras gauche arc de cercle devant, bras droit arrondi passe devant le visage, bras gauche passe derrière la tête revient seconde plier vers le bas ; bras droit plier seconde ver le haut. Enfonce coude droit balance buste à gauche développe bras droit seconde+buste à droite ; puis bras gauche+buste a gauche, rond de jambes droit, bras gauche qui donne l’impression de tirer.

voici une chorégraphie en montage se si est le point de départ avant de pouvoir avoir la chance de la voire terminer sur une scène.

samedi 9 juillet 2011

jeudi 7 juillet 2011

Duo classique 2009

la danse classique dans toute sa splendeur se duo est magnifique et la technique est remarcable. J'espere que ce las vous plaira .

samedi 2 juillet 2011

lundi 27 juin 2011

Duo improvisé Brahem Aiache et Nicolas Fayol

"le handicape" ou plutot la diferebce de capaciter n'enleve rien a la beauter de la danse et cela la rend encore plus belle il n'y a pas que les gens valide qui sont capable de faire de belle chose et l'invaliditée du danseur est parfaitement intégrer dans la choregraphie.
(ps veuiller m'escsuser de ne pas avoire pue poster je n'avait plus d'ordinateure)

samedi 4 juin 2011

lundi 30 mai 2011

Orphée libre


L'aurifère horizon du forain au Zéphyr osait faire fi de ce vent fier






Gaston

samedi 28 mai 2011

samedi 21 mai 2011

un peu de musique

Je vous avait parlé de la bande son de Kingdom hearts dans un ancien article, alors aujourd'hui j'ai décider de vous en donnez quelques extraits (comme je ne sais pas comment amenez de la musique sur le blog, je vous met les liens qui vous mènerons directement à la musique) :

Tout d'abord le thème principal du jeu, à savoir, "Dearly Beloved":

http://www.youtube.com/watch?v=fsrKbA2xt5M

Ensuite la musique du monde dans lequel vis le personnage principal, "Destiny Islands":

http://www.youtube.com/watch?v=EQdwwW0FMGs&feature=related

Puis les musiques associer à la ville de Traverse: "Traverse Town" et "Night of fate"

http://www.youtube.com/watch?v=mmiWjG0N21w&feature=related

http://www.youtube.com/watch?v=_JUlNMAklhs&feature=related

Musiques composées par Yoko Shimomura.


Je vous met en plus la musique de l'opening et de l'ending, "Hikari", composée et interprétée par Utada Hikaru:

En version japonaise: http://www.youtube.com/watch?v=7dojiWNXTL8

Et en anglais: http://www.youtube.com/watch?v=ZleBengRYvI&feature=related

Voilà en espérant qu'elles vous plairont.

Tiphaine

lundi 16 mai 2011

Extrait.

" Ce n'était pas une colonne, mais une cohue, un torrent déchaîné qui emplissait la rue, c'était le "peuple d'en bas" affolé par la boisson et la souffrance, rugissant et se ruant enfin pour boire le sang de ses maîtres. Je l'avais déjà vu, ce peuple de l'Abîme: j'avais traversé ses ghettos, et croyais le connaitre; mais il me semblait aujourd'hui que je le voyais pour la première fois. Sa muette apathie s'était évanouie: il représentait à cette heure une force fascinante et redoutable, un flot qui s'enflait en lames de colère visible, en vagues grondantes et hurlantes, un troupeau d'humains carnivores ivres de l'alcool pillé dans les magasins, ivres de haine, ivres de l'odeur du sang; hommes en haillons, femmes en guenilles, enfants en loques; êtres d'une intelligence obscure et féroce, sur les traits desquels s'était effacé tout ce qu'il y a de divin, remplacé par tout ce qu'il y a de démoniaque dans l'homme; des singes et des tigres; des poitrinaires émaciés et d'énormes bêtes poilues; des visages anémiés dont tout le suc avait été pompé par une société vampire, et des figures bouffies de bestialité et de vice; des mégères flétries et des patriarches barbus à tête de mort; une jeunesse corrompue et une vieillesse pourrie; face de démons, asymétriques et torves, corps déformés par les ravages de la maladie et les affres d'une éternelle famine; rebut et écume de la vie, hordes vociférantes, épileptiques, enragées, diaboliques!
Et pouvait-il en être autrement? Le peuple de l'Abîme n'avait rien à perdre que sa misère et sa douleur de vivre. Et qu'avait-il à gagner?"

Le Talon de fer, Jack London.
Voilà un livre qui m'a beaucoup marqué, ce passage particulièrement. J'espère qu'il vous interpellera assez pour vous donner l'envie de le lire entièrement! Voilà, et désolée pour la longue absence.

dimanche 15 mai 2011

Improvisation: Kairi et Aqua


Je m'excuse de n'avoir pas pu poster hier, mais je ne pouvais vraiment pas :s

mercredi 11 mai 2011

samedi 7 mai 2011

samedi 30 avril 2011

vendredi 29 avril 2011


Sarah ; Gaston

samedi 16 avril 2011

En parlant d'insolite ...

En parlant d’insolite, j’aimerais vous parler d’un jeu vidéo qui illustre bien cette notion d’insolite et d’incroyable, voir d'inimaginable.

Ce jeu est né d’un pari fou voir complètement impensable. Le pari était de concilier dans un seul et même jeu vidéo deux univers totalement antagonistes, et quand je dis antagoniste je ne pense pas exagérer. Vous vous demandez de quels univers il s’agit et bien vous n’allez pas être déçu, parce que ces univers je suis sur que vous les connaissez. En effet, ce jeu vidéo avait pour but de concilier l’univers de Final Fantasy (celui là vous le connaissez un peu, ne serait ce que par mon ancien article) et l’univers de … Disney ! Non vraiment ce n’est pas une blague Disney, le Disney qui sort des films tel blanche neige, la belle au bois dormant et créateur du célébrissime Mickey. Voilà ce Disney là, enfantin, mignon, féerique, Disney quoi, allié à Final Fantasy, série de jeu de combat et d’action (pour info Final Fantasy en est déjà à son XIIIème opus, le XIV étant en cour de développement.) : vous voyez, deux univers complètement différent. Le but de ce jeu était donc d’associé dans un même scénario Final Fantasy et Disney, autant vous dire que ça paraissait complètement fou. Et pourtant, ils l’ont fait, Square soft (aujourd’hui devenu Square Enix) l’entreprise qui a créée Final Fantasy, c’est chargé de la réalisation. Et de ce pari découle donc, Kingdom Hearts.

Arrivé sur le marché en 2002 Kingdom Hearts suscite les critiques, bonnes comme mauvaises, bien entendu. Le jeu commence avec des personnages inconnus du joueur. En effet on commence le jeu avec un personnage principal nommé Sora. Bon on cherche, on cherche… pas de Sora ni dans Disney (ça tout le monde l’aura deviné sans chercher trop longtempsJ) ni dans Final Fantasy, bon alors continuons, on va bien finir par trouver des références à ces deux univers. Sora à deux amis : Riku, son meilleur ami, ainsi que Kairi, sa meilleure amie, voire peut être plus… Enfin bref, on constate que ces deux personnages ne font également pas partit ni de Disney ni de Final Fantasy… Non ne vous inquiétez pas on ne se moque pas de vous, les personnages vont faire leur apparition progressivement au cours du jeu, il faut savoir être patient :)

L'histoire du jeu parait totalement banale: trois enfants qui rêve de voyager à travers le monde, pour cela ils ont construit un radeau qui doit leur servir pour découvrir le monde! Jusque là côté scénario, rien de très original. Mais la veille de leur départ, pendant la nuit l’île de Sora et de ses amis est attaqué par des monstres (Péripétie 1, là toujours on n’est pas dans une originalité incroyable). Le scénario se complexifie plus et devient plus original par la suite : les amis de Sora disparaissent et Sora se retrouve doté d’une armée assez atypique, une « Keyblade » une épée en forme de clé, possédant une multitude pouvoirs et qui semble être la seule arme efficace contre ces monstres, appelés « sans cœur ». Donc vous aurez comprit que votre but est de retrouver vos amis (oui parce que vous incarnez Sora) disparus. Vous découvrez l’existence de divers monde, et oui il n’y avait pas que votre monde dans l’univers. Vous devez donc voyager à travers les mondes pour retrouver vos amis. Je sais ce que vous pensez, je m’écarte de mon sujet, je me mets à vous raconter le jeu, et bien détrompez vous, mon sujet je le recoupe justement avec cette histoire de monde. En effet ces mondes, ce sont en réalité les univers de Disney, chaque monde correspond à un univers Disney différent ! A part deux ou trois mondes crées spécialement pour le jeu, on retrouve le monde d’Hercule, celui d’Aladdin, de la Belle et la Bête et bien d’autres encore.

Le mieux c’est que dans ces mondes on retrouve les personnages, ainsi on peut parler avec Aladdin, Hercule, Alice ( de Alice aux pays des merveilles), se battre contre Jafar ou encore contre Cerbère. On note également la présence de Mickey, présent dans le jeu sous le titre de Roi, Mickey est, comme Sora un porteur de la «Keyblade ». On ne dirait pas comme ça, mais Mickey combat lui aussi les « sans cœur ». Enfin Sora, après les avoir rencontrés, se voit accompagné de Donald et Dingo, respectivement magicien et capitaine de la garde du Roi Mickey et qui ont pour mission de retrouver et de protéger Sora. Pour les personnages de Final Fantasy, ils sont un peu moins nombreux que ceux de Disney et il n'y a pas de monde Final Fantasy, on y retrouve juste quelques personnages. Mais attention pas n’importe quels personnages : Cloud (le célèbre héros de Final Fantasy VII), Aerith (de Final Fantsy VII également) Youffie (encore de Final Fantasy VII) mais aussi Squall (de Final Fantasy VIII, mais renommé Léon, dans Kingdom Hearts pour une raison qui m’est inconnue). Mais il en a encore bien d’autre que je vous laisse découvrir...

Alors vous me direz, c’est bien beau, mais ce pari du début, est il remporté ou non ? Alors oui c’est vrai on est parti de ce pari insolite de créer un jeu qui allierait deux univers totalement différent. Je peux vous affirmé que ce pari fou est complètement remporté ! Le jeu est devenu une référence en matière de jeu vidéo. Il a donné lieu à une suite Kingdom Hearts II (sorti en 2005 au Japon et en 2006 en France) et à de nombreux autres jeux venant compléter la série : Kingdom Hearts Chain of Memories (2004), Kingdom Hearts Birth by Sleep (2010), … et la série continue de s’agrandir, et n’est pas prête de s’arrêter. Par ailleurs dans Kingdom Hearts II on retrouve Yuna, Rikku et Paine de Final Fantasy X-2, elles sont présentes sous forme de petite fée chasseuses de trésors (voir la photo juste à gauche, vous les reconnaissez :) ). Le pari est donc une réussite totale : du point de vue graphique où la conciliation des différents univers est magnifiquement effectuée, du point de vue du scénario qui exploite parfaitement les personnages tiré de ces deux univers, mais également du point de vue musical. Outre la formidable bande son créée par la talentueuse Yoko Shimomura, on retrouve certain thème propre à l’univers Disney notamment le « Under the sea » de La petite sirène ou le thème de Sephiroth : One-Winged Angel. Pour ceux qui ne connaitrait pas Sephiroth, c’est le grand méchant, devenu très célèbre, de Final Fantasy VII, il est disponible en Boss optionnel dans Kingdom Hearts. Mais bon il faut relativisé, très peu de thèmes originaux sont repris, par ailleurs ceux qui sont repris sont un peu remixé.

Voilà, un pari fou, qui donne le jour à un jeu insolite, qui n’a pas fini de faire parler de lui, surtout qu’il a la particularité d’avoir un scénario qui se complexifie de plus en plus, qui suscite le mystère et où les qualités d’observation des joueurs qui voudrait percer ces mystères sont grandement mise à l’épreuve. En effet les concepteurs revendiquent le fait que dans chaque vidéo, chaque cinématique des jeux de la série Kingdom Hearts ils y a des indices et tout peut faire sens. Il n’y a qu’à voir la superbe vidéo d’introduction de Kingdom Hearts II pour voir qu’en elle-même c’est un trésor de signification. Un petit exemple : cette vidéo peut se regarder et s’écouter à l’endroit mais également à l’envers, même la musique délivre un message dans sa version inversée. Mais ce n'est pas tout, cette seule vidéo recèle beaucoup de signe que l'on peut prendre la peine de décrypter ou non...

J’espère que ce très long article vous a plu. Bravo et surtout merci si vous avez eut le courage de tout lire (et moi qui m’étais dit que je devais écrire moins pour cet article... pour le coup j’ai perdu mon pari L) Et puis après tout peut être qu’il vous aura donné envie d’en savoir plus sur Kingdom Hearts, ou peut être connaissiez vous déjà? En tout cas si vous avez des remarques ou des questions je suis prête à répondre, sinon si voulez en savoir plus sur ce jeu vidéo, sans forcement passer par moi-même, vous trouverez votre bonheur sur les nombreux sites et forum concernant Kingdom hearts.

Tiphaine

samedi 9 avril 2011

Insolite























Je voulais vous demandez: Est ce que Samedi vous préféreriez que je poste un dessin ou bien que j'écrive un autre article à propos d'un jeu vidéo? C'est vous qui voyez... mais répondez vite, s'il vous plait ^^

mercredi 6 avril 2011

Le bonheur


Le 21 juin 2009, mon père et moi avons enfourché nos bicyclettes, direction... Rome! De vieux dictons affirmaient que tous les chemins y menaient, nous avons donc voulu vérifier ces ragots, dans un voyage qui a duré au total 30 jours, 1933 kilomètres pédalés, des berges de la Nonette aux rives du Tibre, par les alpes suisses et, surtout, par les plus beaux moments que j'ai pu savourer depuis tout petit. Outre un livre, j'en ai rapporté un poème...

En quête des langueurs passées

Je martelais, joyeux, l'asphalte

Du trou de mes souliers gercés,

A ciel ouvert et vers l'Exalte.


Que ce soit à pied ou du haut de sa petite Reine, les rênes en mains ou la rame en biais, le bain du voyage envoûte s'il s'arbore sans moteur, simplement à l'effort. Aller faire le funambule titubant sur le brin de tes voutes, Terre, vers toutes merveilles transfuse, du contact des rencontres à tout acte que l'on raconte, une ivresse nomade parfumant chaque distance sillonnée qui, d'une danse digne tisse la ligne, papillonnée. Entre papille et pupille alors comblées, la raison bienfaisante de cette déambulation vraie se divulgue à l'itinérant au fil des allures, laissant divaguer avec soin la feuille de route. Outre la finalité évoquant à elle seule le pinacle de la « vogance », sa fin proche puis les germes prometteurs d'un nouveau départ, le lent Demain de l'errant, aussi instable qu'élégant élève chaque soir à l'heure du souvenir cet « ameneur amené » à l'élève du destin, qui de trouvailles diurnes fait son festin. Chaque matin, avec ou sans cap, il cingle dans cette entreprise dessinée par l'Autre, destinée vers l'Ailleurs. Et a chaque syllabe de son histoire découverte il meut et mue, s'émeut, aimant. C'est un cercle délicieux.


Gaston


samedi 2 avril 2011

Contrastes

Je continue sur la lancée japonaise du blog. Dans les deux précédents articles publiés, on nous montre un Japon très traditionnel avec le Haïku et le Hanami. Pourtant ce que l’on oublie très souvent c’est que la société japonaise traditionnelle comme on l’a à l’esprit tend de nos jours à s’estomper. En effet le Japon s’ouvrant au monde, on a affaire à une jeunesse qui se modernise et « s’américanise » (si je peux me permettre ce terme). J’aimerais donc vous montrer ces contrastes entre une jeunesse qui tend à la modernité et des traditions toujours présentent mais qui s’atténuent. Pour ce faire j’ai choisis de vous le montrer d’une manière assez atypique, en effet c’est à travers deux jeux vidéo que je vais vous exposer ces contrastes japonais.

Les deux jeux en question sont Final fantasy X et Final fantasy X-2, Final fantasy X-2 étant la suite de Final fantasy X. Bref, ces jeux vidéo mettent en scène le même personnage principal, Yuna. En comparant ces deux jeux, on remarque bien que par certains points ils témoignent de la société japonaise comme d’une société contrastée. Ce contraste entre les deux jeux s’aperçoit premièrement par les costumes des personnages et l’exemple le plus flagrant concerne, bien entendu son personnage central. On peut voir dans le premier opus Yuna habillé dans une sorte de Kimono, costume qui évoque une certaine tradition japonaise (voir image à gauche). De plus, Yuna est « Invokeur », en gros c’est une sorte de magicienne, discrète et sage, enfin bref un personnage très stéréotypé. Dans le deuxième opus, le personnage change beaucoup du point de vue vestimentaire (voir image à droite), elle apparait en tenue plus légère et plus moderne. Ce n’est plus la gentille fille au kimono, au contraire elle nous parait plus forte moins discrète. De plus ce n'est plus une magicienne mais une tireuse, on voit sur l'image ses deux pistolets. On voit donc une opposition entre les costumes, opposition témoignant d’une volonté d’opposé le Japon traditionnel au Japon contemporain.

Du point de vue musical, on remarque également une différence. En effet dans le deuxième jeu, on trouve des musiques plus « rock », plus rythmée et plus moderne qui divergent de celles que l’on trouve dans le premier opus. Par ailleurs, on trouve dans le premier jeu une atmosphère poétique alors que dans final fantasy X-2, on est confronté à un univers plus excentrique, axé vers la jeunesse d’aujourd’hui.

Ces deux jeux s’imposent comme un témoignage sur deux facettes du Japon. Témoignage indirect, bien entendu, puisque ce n’est pas le but du jeu de se focaliser sur l’état du Japon, surtout que le jeu ne se passe pas au Japon, mais on sent, quand même, des référence au Japon. Le premier opus est donc représentatif d’un Japon poétique et traditionnel, alors que le deuxième se fait le témoin d’une jeunesse excentrique, qui s’ouvre sur le monde, la jeunesse japonaise. Mais ce n’est pas parce que je dis que le premier jeu est poétique, que le second ne l’est pas, il l’est moins et d’une autre manière, notamment par le moyen de certaines chansons.














Voila pour terminer, j’ai choisit les deux passages les plus représentatifs pour moi de ce contraste: le premier extrait provient de Final fantasy X, je le trouve magnifiquement poétique et sublime. Le deuxième n’est autre que la vidéo d’introduction de Final fantasy X-2, et elle illustre parfaitement mes propos. Sur ce je ne vous en dit pas plus et je vous laisse regarder :



(J'espère que cet article vous a plu, je me rends compte que j'ai énormément écrit :s)

Tiphaine

samedi 26 mars 2011

mercredi 23 mars 2011

http://m.youtube.com/index?desktop_uri=%2F&gl=FR#/watch?xl=xl_blazer&v=ISmOGkAniZ4

samedi 19 mars 2011

lundi 14 mars 2011

Discours de Severn Cullis-Suzuki au Sommet de la Terre-Rio 1992

En 1992, alors âgée de 12 ans, Severn Cullis-Suzuki et ses camarades de classe réunissent des fonds pour se rendre au Sommet de la Terre à Rio De Janeiro. Lors de celui ci, elle fut ovationné par les participants à la suite de son dicours lors d'une session plenière. Vidéo à regarder jusqu'au bout, tant elle nous fait honte: si elle à 12 ans fait la morale à un Sommet de la Terre, que faisons nous nous, à nos 17-18 ans?

La pôle culinaire sous le gui de l'aulne

Sur le nez han-té du petit corps-doux do-manial il trompe la manie roque, sur Marinette brune, brusse, brume, brute, bru-lante et lente à souhait, à soin.
Et latente,
Au son
Soupçon
Sous son
nez unique, honnête.
N'est-il point tapi sous sa main, et l’empathie.
Pas hanté d'une parenté malsain, malsaine c'est la scène
Baroque où rompe et rampe l'aneth.
Cul
On la trempe a souhait,
Et sauf à tord, ton porc si net tant janséniste collapse
Sous les petite gens exquise qui s'excuseront à soin... Contre la césure de ta censure assurante, rassuruth... Sous ton luth cela croasse


Gaston

samedi 5 mars 2011

jeudi 3 mars 2011

"Ибись за наследника медвежонка" ВOйHA

Collectif Voina sic : "Voïna (ВOйHA) signifie "Guerre". Nous avons déclaré la guerre à tout ce monde de l'art glamouro-fasciste qui ne produit que des objets d'art morts… Toute cette pitoyable masturbation artistique pseudo-libérale avec des programmes, c'est dépassé. Il est temps de s'opposer pour de bon au lieu de se contenter de jouer avec les mots… Notre but est de montrer la communauté artistique glamour et conformiste sous son vrai jour, pour que tout le monde puisse en rire. Elle est vendue, fascisoïde et ne reproduit de la merde artistique sans odeur complètement ringarde."

lundi 28 février 2011

Paso Doble Performance


Après le hip-hop ,la danse classique et la danse gitane voici une danse de couple aux aire de corrida espagnol cette danse se nome le paso doble . Cette danse est une danse technique car elle allie jeu et danse j'entent par jeu le fait que cette danse reproduit les mouvements d'un torero espagnol . Dans cette danse l'homme conduit la femme . Je vous laisse admirer .

samedi 26 février 2011

mardi 15 février 2011

Israël Premier Jour.


Nous nous levons vers 7h après une longue soirée à se raconter nos débuts de vacances, nos petites histoires, celles qu'on ne se raconte pas au téléphone ni par internet parce qu'elles sont trop importantes et trop insignifiantes, qu'elles ne pourraient pas avoir le même effet sans la démonstration détaillé de la situation. Nous sommes au dix septième étage d'un immeuble rue Lévi-Eshkol et de la terrasse, on peut observer les immeubles de Tel-Aviv en construction, une grosse grue au centre du paysage en face, à droite, un petit aéroport pour hélicoptères et petits avions, à gauche, le vieux Tel-Aviv, un parc, le centre-ville et en face, dessinant une large bande bleue, la mer, toute proche. La vue est fascinante, et nous prenons notre petit déjeuner sur la terrasse, goûtant à la température encore tiède et les bruits de la ville qui s'éveille. Une fois vêtues de nos jeans, armés de nos appareils photos et d'un sac à dos rempli de bouteilles d'eau fraîche qui ne le resteront pas longtemps, nous partons rejoindre Ruben, un ami de Salomé. Plus vieux que nous, il nous accompagnera pour la journée. "Deux gamines de 17 ans dans Jérusalem, c'est pas top, y'a des quartiers où faut qu'on ai un homme avec nous." Il faut une demi-heure pour relier Tel-Aviv et Jérusalem en bus, sans bouchon. Autrement dit, à part au beau milieu de la nuit, il faut toujours beaucoup plus qu'une demi-heure pour relier Tel-Aviv et Jérusalem. Arrivés là bas, Salomé décide de commencer par le Mur des Lamentations. Nous prenons un nouveau bus de ville. Dans les rues de Jérusalem aussi on s'éveille. Les trottoirs sont encombrés d'enfants en uniforme impeccable, leurs cartables sur le dos et des jeunes filles, des mères, dont la tenue m'étonne. Même avec la chaleur, elles portent des cols roulés à manches longues et des jupes longues avec un foulard sur les cheveux. Salomé m'explique que ce sont des familles religieuses qui observent une grande pudeur chez les femmes. Des enfants portent Descente du bus. Nous nous immergeons dans une masse de monde se dirigeant tous vers le même endroit. Sur le chemin, la mosquée d'Al-Aqsa, impressionant édifice de pierre jaunes (Pierre de Jérusalem) dans lequel nous ne pouvons entrer. Une rapide photo devant, et nous faisons la queue (hommes et femmes séparément) pour entrer sur la place. Il faut passer un détecteur de métaux, faire inspecter son sac avant d'entrer et ensuite, une femme assise à l'ombre, en uniforme de sécurité vérifie que notre tenue est aux normes: elle nous enjoint de cacher nos épaules. Nous sortons nos foulards de nos sac et rejoignons Ruben. Pour lui, en bermuda et tongs, pas de problèmes de pudeur ou de respect.

La grande place de pierre lumineuses est encombrée, même à dix heures du matin, d'une foule de touristes, de religieux qui viennent prier ici chaque matin, de jeunes en service militaire... L'espace devant le mur est divisé en deux parties, l'une pour les femmes, l'autre, plus grande, pour les hommes. Salomé sort un petit bloc note et deux stylos: "J'ai pris du papier bleu fluo, ça se verra mieux sur le mur!" Nous nous approchons du mur. Des chaises en plastique blanc sont disposés en rangées et des petits meubles de bois noir sur lesquels sont disposés des livres de prières. Se frayer un chemin jusqu'au mur. Attendre que quelqu'un s'en détache. Se glisser dans l'espace libéré. Trouver un petit endroit pour poser son papier sans déranger les milliers d'autres vœux coincés entre les pierres. Et l'on oublie tout: le bruit, les gens autours, le soleil qui tape. L'endroit, l'instant, tout ce monde qui prie et se recueille. Croyants ou non, on ne peut s'empêcher de faire comme tout le monde: poser ses deux mains à plats contre le Mur. Les deux mains posés sur la pierre lisse et douce, les larmes me viennent aux yeux. Comme un tête à tête avec les milliers d'hommes passés par là. Comme un face à face avec Dieu. Tant d'histoire, d'épreuves, de révélations, de paix, d'amour, de colères, de guerre qui sont passés avant nous. Durant quelques secondes, je me sens écrasée par une puissance inexplicable. Une force que je vais retrouver durant toute la journée en me promenant dans la ville. Je recule doucement, et la place libérée est vite occupée à nouveau. On ne doit pas tourner le dos au mur, ce qui s'avère un peu compliqué étant donné la masse de monde qui s'avance. De nouveau sur la place, je détache mon regard du Mur, et nous nous dirigeons vers l'autre côté de la place. Là, nous entrons dans une ruelle couverte bondée, de l'autre côté, des vigiles à nouveau, et des détecteurs de métaux, et nous débouchons sur une nouvelle ruelle, à ciel ouvert.

samedi 12 février 2011

dimanche 6 février 2011

danse cubaine



la salsa est une danse d'origine latine qui puise ses origines au large de l'île de Cuba. Cette danse autre foi danser par les esclaves sud Américain pour oublier le temps d'une danse leur condition de vie. Puis la salsa c'est démocratisé et est devenu une danse de couple très priser et admirer par tout les bon danseur . Cette dance n'en reste pa moi technique et très sensuelle .

samedi 5 février 2011

lundi 31 janvier 2011

Le Roiseau rare et ses pédanteries


Jamais pareil égal ne s'attable près du roi
Et ce rapace, un tantinet pompeux, s'accable du petit doigt
Redondant, radotant tant de dons adorés. Réminiscence d'une
Emphase à une lettre et deux notes, turlupinant
Monsieur de Maideuh, Comte de Pompadour ergote de l'auriculaire quand
Il tient à sa science, qu'il tartine puis chique sur le QI QI
Exécrable de ses hôtes. C'est chic, entre le paon et le manchot, ce
Roiseau rare et ses pédanteries insupportables et colportées, de son col soyeux à l'idiolecte copieux, ris précautionneusement, suffoque piètrement, feint piteusement, manque précieusement, picote prétendument, tarabuste pieusement, horripile peureusement, enquiquine perversement, flâne prétentieusement le faux, "finalement" [...]


Gaston

dimanche 23 janvier 2011

Israël.



Cela faisait des mois qu'on en parlait. Des mois que j'y pensais sans m'imaginer un seul instant que le projet pu être réalisé. Je n'osais pas l'imaginer et voilà qu'on m'annonce que je pars. 3 semaines en Israël, retrouver ma meilleure amie à Tel-Aviv. Alors me voilà. Porte A du terminal 3 vols internationaux de l'aéroport d'Orly, imbibant de larmes l'oreiller de mon copain, qui vient de disparaître derrière une foule de voyageurs anonymes après m'avoir dit au revoir. Je suis dans un état d'hystérie proche de la folie. Je pars en Israël. Israël. C'est presque comme dire que je vais explorer le Never-land de Peter Pan, le pays des Merveilles d'Alice ou encore la Terre du Milieu. Ce nom évoque tant de choses. C'est comme une terre très lointaine, là où tout commence, et où tout finira probablement, un pays dont on vous a souvent parlé mais qu'on garde un peu comme une contrée éloignée, presque inexistante, pleine de mystère, de beauté. Il y a un peu de magie dans ce nom d'Israël. Sans doute est-ce mon éducation catholique qui me fait percevoir Israël comme une terre si sacrée, si pleine de signification. Comme si me dire que si l'Israël de la Bible existe réellement alors sans doute Dieu comme le décrit la Bible existe-t-il aussi, comme une petite preuve infinie qu'il y a un Dieu d'amour.
Alors me voilà dans ce terminal, entourée de voyageurs parlant dix langues différentes, et moi sanglotant parce que je ne vais pas voir mon copain durant trois semaines (une éternité quand on est tout fraichement amoureux...et je me passe de vos commentaires!) et que je vais retrouver Salomé, que je n'ai pas vu depuis un an (une éternité quand on s'aime comme des soeurs) et puis parce que je vais faire un voyage que je n'osais même pas imaginer. Partir en Israël à 17 ans, c'est comme une promesse que je voyagerais toute ma vie dans des lieux qui me paraissent inaccessibles. Hystérique donc, riant et pleurant toute seule dans l'aéroport, sans doute extrêmement effrayante (j'hésite vraiment à vous raconter ce passage peu glorieux de mon voyage...) je n'arrive à me calmer qu'une fois dans l'avion (qui mettra une heure de plus pour décoller) et m'endort épuisé d'être aussi excitée. Je n'ouvre même pas les yeux quand l'avion s'envole et les rouvre lorsqu'une hôtesse de l'air tente de poser un plateau de nourriture casher (la première de mon voyage!) sur la tablette, déjà encombrée de mon oreiller, et moi ronflant et bavant gaiement. Mais je m'égare.
Il est 21h30 quand j'arrive à l'aéroport de Tel-Aviv. Salomé m'attends avec sa mère et un ballon avec écrit "Welcome" en lettres énormes. L'hystérie me reprend. Mais sans les larmes cette fois, et elle est partagée: ça fait du bien d'avoir l'air effrayant à deux. On se sent (un tout petit peu) moins bête. La température extérieure est de 32degrés, et je me vois contrainte de retirer bien vite ma légère veste en jean et mon foulard (mes seules armes contre la clim' de l'avion... il faudra vraiment qu'un jour on m'explique pourquoi ont tient absolument à maintenir une température aux alentours de 0 degrés dans l'appareil...). L'air est humide, chaud, lourd, mais c'est agréable, cela me rappelle la ville de San Pedro Sula, dans mon pays natal. Je me sens comme chez moi. Le plafond de la salle d'arrivée de l'aéroport est couvert de ballons gonflés à l'hélium, de toutes les formes et les couleurs imaginables, que des gamins un peu distrait on eu le malheur de lâcher: les ballons se sont bien vite enfuis rejoindre leurs compagnons "Welcome" "Bienvenue" "Bienvenido" et autres sur la surface blanche, à plusieurs mètres de haut. Mais moi, imperturbable, héroïque, je garde mon poing ferme, n'offrant aucune possibilité à MON ballon de s'enfuir. Et sors de l'aéroport avec la promesse de trois semaines inoubliables...
(les photos: vues sur Tel-Aviv depuis l'appartement de Salomé. Les grues, les terrains encombrés de matériel: dès qu'on met le nez dehors, on constate la jeunesse du pays. Partout, on construit, on s'installe dans des immeubles tout neufs, tout est fait pour accueillir les juïfs des quatre coins du monde qui souhaitent s'installer sur la terre de leurs ancêtres.)

samedi 22 janvier 2011

Alsace


Je vous laisse trouver de quelle ville il s'agit ;)

jeudi 20 janvier 2011

Étrange ombre.

Elle se glisse dans nos sommeils
Se pavane a faire la fête
Grince des dents comme une vielle
Et se dandine telle une bête.

Elle est trompe-l'oeil,
Coeur fendu d'un aïeul
Et odeur d'un tilleul
Qui ne sait que faire de son filleul.

Ni le vin,ni la fumée
Ne lui fait plus d'effets,
Pas même une simple chère
Ne lui provoque guerres.

A quand sa compréhension?
Qui fait perdre la raison,
D'autant plus de foison
Qu'avec tant de compassion.

Un zèle de musique d'antan
Raviverait sa couleur de charmant,
Illuminerai de mille feux
Son visage bleu,
Embaumerai ses traits
Et brillerai de bonté.

Et pourtant,
Tout sera comme avant.

Mathieu S.E

dimanche 16 janvier 2011

Ondine

Une bande d'amis : Louis, Jacques, Napoléon et Bertrand se disputent la sirène. Chacun la désire.


"Ondine ! Dinons à midi, amie dont, dit on, dix tons t'ont dicté t'équité dix ronds d'ondes innées." diront Ondine et Aloysius.
- Ondine, dis non ! Car ni l'amidon ni l'amidol n'administre la nitre si folle.
Ondine dit non.
- Ondine, dinons au nid, on dit dix, onze heures ?
- Que nenni ! C'est un leurre !
- Ne dis nom que si non. Sinon on scie ton nid, dont six tons aux dons d'onces ; citons : "redondance".
- O douce Ondine aux dons denses ! O nixe des danses, disons Ondine : dinons sine die."
Ondine dit nom.
Ondine ne dit non.


Gaston

samedi 15 janvier 2011

vendredi 14 janvier 2011

Il y a un incendie un jour de soleil...


Au hasard de mes lectures, je suis tombé sur ce poème un peu étrange de Maeterlinck (je ne sais plus si je vous l'ai dit mais j'adore les écrivains belges, et non ce n'est pas une tare !) qui m'a fait une impression toute particulière...
Comme je me suis dit qu'il manquait très certainement à ce blog où pétillent recherche créatrice et découverte historico-théorique, je me suis empressé de le recopier, et vous le livre, tel quel...
C'est l'histoire d'un hôpital...


Hôpital ! hôpital au bord du canal !
Hôpital au mois de Juillet
!
On y fait du feu dans la salle
!
Tandis que les transatlantiques sifflent sur le canal
!

(Oh
! n’approchez pas des fenêtres !)
Des émigrants traversent un palais
!
Je vois un yacht sous la tempête
!
Je vois des troupeaux sur tous les navires
!
(Il vaut mieux que les fenêtres restent closes,
On est presque à l’abri du dehors.)
On a l’idée d’une serre sur la neige,
On croit célébrer des relevailles un jour d’orage,
On entrevoit des plantes éparses sur une couverture de laine,
Il y a un incendie un jour de soleil,
Et je traverse une forêt pleine de blessés.

Oh
! voici enfin le clair de lune !

Un jet d’eau s’élève au milieu de la salle
!
Une troupe de petites filles entrouvre la porte
!
J’entrevois des agneaux dans une île de prairies
!
Et de belles plantes sur un glacier
!
Et des lys dans un vestibule de marbre
!
Il y a un festin dans une forêt vierge
!
Et une végétation orientale dans une grotte de glace
!

Écoutez
! on ouvre les écluses !
Et les transatlantiques agitent l’eau du canal
!

Voyez la sœur de charité qui attise le feu
!

Tous les beaux roseaux verts des berges sont en flamme
!
Un bateau de blessés ballotte au clair de lune
!
Toutes les filles du roi sont dans une barque sous l’orage
!
Et les princesses vont mourir en un champ de cigües
!

Oh
! n’entrouvrez pas les fenêtres !
Écoutez : les transatlantiques sifflent encore à l’horizon
!

On empoisonne quelqu’un dans un jardin
!
Ils célèbrent une grande fête chez les ennemis
!
Il y a des cerfs dans une ville assiégée
!
Et une ménagerie au milieu des lys
!
Il y a une végétation tropicale au fond d’une houillère
!
Un troupeau de brebis traverse un pont de fer
!
Et les agneaux de la prairie entrent tristement dans la salle
!

Maintenant la sœur de charité allume les lampes,
Elle apporte le repas des malades,
Elle a clos les fenêtres sur le canal,
Et toutes les portes au clair de lune.