lundi 28 février 2011

Paso Doble Performance


Après le hip-hop ,la danse classique et la danse gitane voici une danse de couple aux aire de corrida espagnol cette danse se nome le paso doble . Cette danse est une danse technique car elle allie jeu et danse j'entent par jeu le fait que cette danse reproduit les mouvements d'un torero espagnol . Dans cette danse l'homme conduit la femme . Je vous laisse admirer .

samedi 26 février 2011

mardi 15 février 2011

Israël Premier Jour.


Nous nous levons vers 7h après une longue soirée à se raconter nos débuts de vacances, nos petites histoires, celles qu'on ne se raconte pas au téléphone ni par internet parce qu'elles sont trop importantes et trop insignifiantes, qu'elles ne pourraient pas avoir le même effet sans la démonstration détaillé de la situation. Nous sommes au dix septième étage d'un immeuble rue Lévi-Eshkol et de la terrasse, on peut observer les immeubles de Tel-Aviv en construction, une grosse grue au centre du paysage en face, à droite, un petit aéroport pour hélicoptères et petits avions, à gauche, le vieux Tel-Aviv, un parc, le centre-ville et en face, dessinant une large bande bleue, la mer, toute proche. La vue est fascinante, et nous prenons notre petit déjeuner sur la terrasse, goûtant à la température encore tiède et les bruits de la ville qui s'éveille. Une fois vêtues de nos jeans, armés de nos appareils photos et d'un sac à dos rempli de bouteilles d'eau fraîche qui ne le resteront pas longtemps, nous partons rejoindre Ruben, un ami de Salomé. Plus vieux que nous, il nous accompagnera pour la journée. "Deux gamines de 17 ans dans Jérusalem, c'est pas top, y'a des quartiers où faut qu'on ai un homme avec nous." Il faut une demi-heure pour relier Tel-Aviv et Jérusalem en bus, sans bouchon. Autrement dit, à part au beau milieu de la nuit, il faut toujours beaucoup plus qu'une demi-heure pour relier Tel-Aviv et Jérusalem. Arrivés là bas, Salomé décide de commencer par le Mur des Lamentations. Nous prenons un nouveau bus de ville. Dans les rues de Jérusalem aussi on s'éveille. Les trottoirs sont encombrés d'enfants en uniforme impeccable, leurs cartables sur le dos et des jeunes filles, des mères, dont la tenue m'étonne. Même avec la chaleur, elles portent des cols roulés à manches longues et des jupes longues avec un foulard sur les cheveux. Salomé m'explique que ce sont des familles religieuses qui observent une grande pudeur chez les femmes. Des enfants portent Descente du bus. Nous nous immergeons dans une masse de monde se dirigeant tous vers le même endroit. Sur le chemin, la mosquée d'Al-Aqsa, impressionant édifice de pierre jaunes (Pierre de Jérusalem) dans lequel nous ne pouvons entrer. Une rapide photo devant, et nous faisons la queue (hommes et femmes séparément) pour entrer sur la place. Il faut passer un détecteur de métaux, faire inspecter son sac avant d'entrer et ensuite, une femme assise à l'ombre, en uniforme de sécurité vérifie que notre tenue est aux normes: elle nous enjoint de cacher nos épaules. Nous sortons nos foulards de nos sac et rejoignons Ruben. Pour lui, en bermuda et tongs, pas de problèmes de pudeur ou de respect.

La grande place de pierre lumineuses est encombrée, même à dix heures du matin, d'une foule de touristes, de religieux qui viennent prier ici chaque matin, de jeunes en service militaire... L'espace devant le mur est divisé en deux parties, l'une pour les femmes, l'autre, plus grande, pour les hommes. Salomé sort un petit bloc note et deux stylos: "J'ai pris du papier bleu fluo, ça se verra mieux sur le mur!" Nous nous approchons du mur. Des chaises en plastique blanc sont disposés en rangées et des petits meubles de bois noir sur lesquels sont disposés des livres de prières. Se frayer un chemin jusqu'au mur. Attendre que quelqu'un s'en détache. Se glisser dans l'espace libéré. Trouver un petit endroit pour poser son papier sans déranger les milliers d'autres vœux coincés entre les pierres. Et l'on oublie tout: le bruit, les gens autours, le soleil qui tape. L'endroit, l'instant, tout ce monde qui prie et se recueille. Croyants ou non, on ne peut s'empêcher de faire comme tout le monde: poser ses deux mains à plats contre le Mur. Les deux mains posés sur la pierre lisse et douce, les larmes me viennent aux yeux. Comme un tête à tête avec les milliers d'hommes passés par là. Comme un face à face avec Dieu. Tant d'histoire, d'épreuves, de révélations, de paix, d'amour, de colères, de guerre qui sont passés avant nous. Durant quelques secondes, je me sens écrasée par une puissance inexplicable. Une force que je vais retrouver durant toute la journée en me promenant dans la ville. Je recule doucement, et la place libérée est vite occupée à nouveau. On ne doit pas tourner le dos au mur, ce qui s'avère un peu compliqué étant donné la masse de monde qui s'avance. De nouveau sur la place, je détache mon regard du Mur, et nous nous dirigeons vers l'autre côté de la place. Là, nous entrons dans une ruelle couverte bondée, de l'autre côté, des vigiles à nouveau, et des détecteurs de métaux, et nous débouchons sur une nouvelle ruelle, à ciel ouvert.

samedi 12 février 2011

dimanche 6 février 2011

danse cubaine



la salsa est une danse d'origine latine qui puise ses origines au large de l'île de Cuba. Cette danse autre foi danser par les esclaves sud Américain pour oublier le temps d'une danse leur condition de vie. Puis la salsa c'est démocratisé et est devenu une danse de couple très priser et admirer par tout les bon danseur . Cette dance n'en reste pa moi technique et très sensuelle .

samedi 5 février 2011